Quand Ibrahim Pacha remit le sceau au sultan et demanda sa démission, les ennemis et amis du grand vizir attendirent avec impatience le châtiment qui suivrait pour un acte aussi audacieux.
Bien sûr, Hatice était surtout hystérique, réalisant que si Ibrahim ne venait pas aux fiançailles de Mustafa, il signerait son propre arrêt de mort. Par conséquent, Hatice supplie Mustafa d'aller au pavillon de chasse pour le pacha et de l'amener à la cérémonie.
Ibrahim est néanmoins venu à la cérémonie, mais après avoir passé un peu de temps aux vacances, il a décidé de partir.
Le sultan a pris ce comportement d'Ibrahim comme un manque de respect et a ordonné aux gardes de jeter Ibrahim en prison.
Le sultan réfléchit longtemps à la manière de punir Ibrahim. D'une part, il comprenait qu'Ibrahim était devenu arrogant, d'autre part, c'était un homme qui était toujours là, qui lui avait sauvé la vie plus d'une fois et était le mari bien-aimé de sa jeune sœur vulnérable Khatije.
Plus tard dans la cour du palais, le sultan Suyleman ordonne d'amener Ibrahim Pacha.
Et quand il pense déjà que c'est sa fin, le sultan commence à le gronder pour cette habitude: juste pour rendre le sceau.
Suileman rend le sceau à Ibrahim, disant que c'est son paradis et son enfer et qu'il doit le porter jusqu'à la fin. C'est la volonté du Grand Vizir.
Cependant, après être rentré chez lui, Ibrahim a déclaré à Hatitja que c'était une performance dans laquelle il avait gagné. Il a pris un risque énorme en laissant un sceau, dont le prix était sa vie ou la confiance du maître.